Cette liberté, cette folie, je les retrouve encore aujourd’hui en me promenant dans Naples, cette ville colorée et bruyante, avec ses ruelles féroces et grouillantes de vie. Comment ne pas imaginer une grande fête populaire napolitaine dans la Sonate K. 124, ou le souvenir d’une chanson de la rue dans la Sonate K. 547, que Domenico entendait enfant chez lui?